1- L’humain
L’innovation si elle veut être pertinente doit se recentrer sur les vraies valeurs d’usage. Le Design Thinking est humain et empathique: il prend en compte les besoins profonds des utilisateurs pour coller de plus prés à leurs valeurs, besoins latents, désirs futurs, préoccupations. Il s’intéresse à la demande non exprimée des utilisateurs, à l’expérience vécue.
2- La créativité
Le Design Thinking fait appel à la pensée créative des designers, qui apporte une balance nécessaire entre le scientifique et l’intuitif, le rationnel et l'émotionnel. Il apporte les moyens pour stimuler et provoquer des bouleversements. Le Design Thinking n’est pas une méthodologie, c’est une philosophie, une culture : celle du designer créatif qui a l’habitude de casser les schémas mentaux.
3- La collaboration
Le Design Thinking intègre l’organisation consciemment dans le processus d’innovation: il utilise toutes les ressources humaines en interne comme le marketing, la vente, la R&D, personnes de terrain, sur la résolution des enjeux inhérents à l’organisation. Les entreprises sont souvent assises sur une mine d’or d’information et d’idées, le design thinking les fait émerger et les valorise dans une démarche collaborative. De manière générale, le Design Thinking est un créateur de ponts entre des disciplines qui peuvent avoir du mal à travailler ensemble.
4- L’itération
Les grandes organisations sont souvent trop lourdes de processus, de règles, de politique. Cette lourdeur va à l’encontre de la flexibilité, de la vélocité requise par l’innovation. Le Design Thinking rend possible la validation des bonnes idées, à petite échelle, de façon intégrative, sans se lancer dans de lourds processus. Les coûts et risques sont minimisés, il ne s’agit plus d’un plan d’exécution, mais d’un plan d’apprentissage sur les usagers et la proposition de valeur.
Gaëlle Seznec
À l'initiative de NINE TENTH
L’innovation si elle veut être pertinente doit se recentrer sur les vraies valeurs d’usage. Le Design Thinking est humain et empathique: il prend en compte les besoins profonds des utilisateurs pour coller de plus prés à leurs valeurs, besoins latents, désirs futurs, préoccupations. Il s’intéresse à la demande non exprimée des utilisateurs, à l’expérience vécue.
2- La créativité
Le Design Thinking fait appel à la pensée créative des designers, qui apporte une balance nécessaire entre le scientifique et l’intuitif, le rationnel et l'émotionnel. Il apporte les moyens pour stimuler et provoquer des bouleversements. Le Design Thinking n’est pas une méthodologie, c’est une philosophie, une culture : celle du designer créatif qui a l’habitude de casser les schémas mentaux.
3- La collaboration
Le Design Thinking intègre l’organisation consciemment dans le processus d’innovation: il utilise toutes les ressources humaines en interne comme le marketing, la vente, la R&D, personnes de terrain, sur la résolution des enjeux inhérents à l’organisation. Les entreprises sont souvent assises sur une mine d’or d’information et d’idées, le design thinking les fait émerger et les valorise dans une démarche collaborative. De manière générale, le Design Thinking est un créateur de ponts entre des disciplines qui peuvent avoir du mal à travailler ensemble.
4- L’itération
Les grandes organisations sont souvent trop lourdes de processus, de règles, de politique. Cette lourdeur va à l’encontre de la flexibilité, de la vélocité requise par l’innovation. Le Design Thinking rend possible la validation des bonnes idées, à petite échelle, de façon intégrative, sans se lancer dans de lourds processus. Les coûts et risques sont minimisés, il ne s’agit plus d’un plan d’exécution, mais d’un plan d’apprentissage sur les usagers et la proposition de valeur.
Gaëlle Seznec
À l'initiative de NINE TENTH